« Quand il m'a raccompagnée chez moi, il m'a embrassée. Son baiser était fougueux - presque violent. Il m'a prise dans ses bras, s'est aggripé à moi comme si j'étais la dernière chose sur terre à laquelle il pouvait se rattraper. J'ai été surprise, non pas par la force et l'ardeur de ses actes mais par ce que j'en ai perçu : à travers ses gestes, j'aurais normalement dû comprendre qu'il m'aimait alors qu'en réalité, je ressentais tout le contraire. Ce n'était pas une déclaration mais une demande d'amour : ses étreintes ne me disaient pas "Je t'aime" mais "Aime-moi" ... »


 

 

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